« Une passion et un savoir qui se passe de père en fille. »
Le nom RIVET est associé aux domaines de la bijouterie et de l’horlogerie digne de confiance depuis 1955.
1955 Ouverture
La Bijouterie Rivet a vu le jour quand Jean-Claude Rivet, horloger, et son épouse, Rita Leroux Rivet, font l’acquisition de la bijouterie de M. Ovila Lamarche, en affaires depuis 1925. Située à Ville-Émard, un quartier où la population d’origine italienne est très importante, leur bijouterie s’adapte rapidement à la demande de sa clientèle, qui préfère l’or 18 carats et les bijoux de qualité.
1968 Formation à New York
Monsieur Rivet complète un cours en gemmologie à New York. Il devient l’un des rares bijoutiers indépendants à Montréal à offrir plus que les traditionnels rubis, émeraudes et saphirs. Encouragé par son épouse Rita, sa fidèle collaboratrice, il importe notamment du Brésil des opales, des topazes, des tourmalines, des améthystes, des aigues-marines, pour les faire sertir sur des montures importées d’Allemagne et d’Italie ou exclusivement fabriquées ici, à Montréal. La clientèle trouve un grand plaisir à admirer ces gemmes sous le microscope, une expérience d’achat unique. L’authenticité, la variété et le raffinement des bijoux font la renommée de la bijouterie du sud-ouest de l’île de Montréal.
1982 De père en fille
Carmen, une de ses filles, part pour la Californie en vue de suivre les traces de ses parents. Elle obtient du Gemological Institute of America (GIA) un diplôme complet en gemmologie avec grande distinction. À son retour, elle propose à ses parents de prendre la relève. Elle achète la bijouterie familiale avec son frère en 1986.
1987 Succursale à Saint-Lambert
Les deux nouveaux propriétaires ouvrent une succursale à Saint-Lambert, au 207, rue Woodstock, où les talents de création de Carmen et ses connaissances en gemmologie font de leur bijouterie un endroit incontournable pour les gens recherchant qualité et audace.
1993 Carmen Rivet devient l’unique propriétaire
Carmen vend ses parts de la bijouterie de Montréal à son frère. En retour, elle achète celles de la bijouterie de Saint-Lambert pour en devenir l’unique propriétaire. Le commerce déménage au 12, de la rue Desaulniers, à Saint-Lambert, en octobre 1997.
1983 à 1995 Partager ses connaissances à travers le Québec
Carmen Rivet enseigne la gemmologie aux cégeps de Maisonneuve, d’Alma et de Thedford Mines, ainsi qu’à l’École de Joaillerie et des Métaux d’Arts de Montréal. Elle coordonne la mise en place d’un programme complet de gemmologie enseigné dans les cégeps de la province. Elle rédige de nombreux articles spécialisés sur les diamants, les pierres précieuses et les pierres fines.
En qualité de gemmologiste professionnelle et de femme d’affaires réputée, elle est invitée sur plusieurs plateaux de télévision, en plus d’agir comme consultante pour la production d’émissions, de documentaires et pour la presse écrite.
1994 à 2001 Ses années au sein du JVC
Son honnêteté et son intégrité sont reconnues par le Jewellers Vigilance Canada (JVC), qui demande à Carmen Rivet de siéger à son comité de direction pour y représenter la province de Québec. Le JVC est un organisme canadien réputé dédié au respect de l’éthique professionnelle dans le milieu de la bijouterie.
2000 à 2006 La 80e présidente de l’Association canadienne des bijoutiers
Elle devient membre du conseil d’administration de l’Association canadienne des bijoutiers (CJA). Elle siège aussi au comité exécutif, et en 2004, Carmen Rivet devient la 80e présidente de l’Association canadienne des bijoutiers. Menant trois importants dossiers avec brio, elle est nommée personnalité de l’année par la revue Canadian Diamonds and Jewellery en 2005.
2004 à 2018 Le Québec se prépare à devenir un producteur de diamants
Elle est membre du conseil d’administration du Centre canadien de valorisation du diamant en tant que vice-présidente. La mine de diamants Renard à 350 km au nord de Chibougamau, se prépare à entrer en production et on souhaite en faire une renommée mondiale avec système de traçage d’origine.
2006 Carmen Rivet, la femme d’affaires
Lors du tout premier Gala Excellence tenu à Saint-Lambert en 2006, la Bijouterie Rivet remporte le premier prix dans la section du commerce de détail.
2008 Le 666, rue Notre-Dame
Toujours à Saint-Lambert, la bijouterie déménage à une adresse qui fait parler d’elle : le 666, avenue Notre-Dame ! Aménagé spécialement pour la bijouterie, le local est plus grand et permet de mieux répondre aux besoins de sa clientèle. L’endroit possède un grand stationnement pour accommoder les visiteurs de la Rive-Sud, de Montréal et d’ailleurs.
2010 à 2014 La Corporation des Bijoutiers du Québec. (CBQ)
Aussi loin qu’on puisse se souvenir, la bijouterie Rivet a toujours été membre de la Corporation des Bijoutiers du Québec. Rita Rivet a d’ailleurs été présidente de la section de Montréal vers la fin des années 1970. Carmen Rivet s’est jointe aux administrateurs de 2009 à 2014.
2014 Code de conduite sur les diamants canadiens (CCDC)
Carmen Rivet est invitée à se joindre au conseil d’administration du Code de conduite pour l’authentification des diamants canadiens, regroupement dont elle est membre depuis sa toute première formation.
2022 Carmen reçoit le « Chairman’s Award »
Carmen reçoit le Prix du Président de l’Association des Bijoutiers Canadiens (CJA), un hommage hautement symbolique d’une reconnaissance par l’industrie canadienne de la bijouterie pour une contribution exceptionnelle de membres de notre industrie. « Sa réputation, son intégrité personnelle et son engagement envers notre industrie sont reconnus et félicités ».
